Singapour.
La volière de Singapour, le plus grand zoo pour oiseaux au monde. On peut y voir des milliers d’espèces de volatiles :
– des pingouins, des manchots sur leur banquise ;
– des autruches, des émeus, des casoars ;
– des vautours, des faucons, des aigles chauves ou à houpettes ;
– des toucans au bec coloré, un peu tapageurs ;
– des paons qui ne veulent pas faire la roue, des faisans ;
– des canards, des poules d’eau, des cygnes noirs ;
– des grands pélicans, très impressionnants ;
– des perroquets acrobates ;
– des perruches énamourées ;
– des flamants roses, tellement roses qu’on dirait qu’on y a mis un additif, un truc chimique, et des flamants au naturel, comme le tarama de la Grande Épicerie (à côté du Bon Marché) ;
– enfin, des zosiaux, des zosiaux, encore des zosiaux.
Et aussi, une cascade artificielle (la plus haute du monde, ils ne font pas dans l’humilité à Singapour), un monorail qui fait le tour du parc, des arbres et des plantes d’essences diverses, une gigantesque volière couverte d’un filet où l’on peut se déplacer sur des ponts suspendus à la manière d’un Indiana Jones au petit pied.
Tous ces oiseaux, ça m’a donné faim, et à la fin de la visite, j’avais un petit creux, alors je me suis commandé des ailes de poulet, pour rester dans le thème…
Bon, en résumé, je ne recommande l’aventure qu’aux passionnés des pioupious et pour les enfants… Enfin, pour les enfants qui sont habitués à une température de 32 degrés et à 100 % d’humidité.
Pour finir, j’ai fait plein de photos de toutes sortes de bestioles volantes, et j’ai choisi de ne publier que cette image d’une fleur, Juliette’s style. Pourquoi, me direz-vous ?
Parce que !