Beyrouth, Liban.
Les deux personnages à gauche sont des représentants d’une des professions les plus florissantes au Liban, le photographe (et son compère le vidéaste) de mariage.
Le manque manifeste de bar-mitvahs, ordinaire des photographes parisiens et sarcellois, est largement compensé par la frénésie maritale des Libanais, aussi ces nobles artistes de l’image sont-ils assurés d’être épargnés par le chômage.