Kyoto, Japon.
Dans tout sanctuaire shinto, on peut acheter des « ema », des plaques de bois votives (dans l’espoir que le kami exauce un vœu – « votif » est l’adjectif correspondant à « vœu ») que l’on attache ensuite au un support dédié à cet effet, l’emakake.
On peut voir que la religiosité de certaines Japonaises est largement subordonnée au culte de Narcisse.